Le lendemain, c’est la déception lorsque nous nous rendons à la caserne centenaire de la ville. On nous apprend que tout est fermé le lundi. On revise nos plans pour se rendre dans une forêt tropicale sèche. Apparemment, il ne subsiste qu’un pour cent de ce type de forêt sur la planète. Malheureusement, les indications de Apple Maps sont fausses et nous perdons 45 minutes sur la route à reprendre la route indiquée par Google Maps. Cette expérience nous apprend d’ailleurs que nous devons vérifier notre route dans chacune des applications avant de partir. Parfois, Apple est dans les choux, parfois c’est Google, il n’y a donc pas de gagnant clair dans la bataille de la cartographie de Puerto Rico.
Une fois sur les lieux, il est pratiquement 11h et nous n’avons pas de lunch et d’eau en quantité suffisante pour rester à cet endroit pour plusieurs heures. C’est donc une tournée rapide des lieux qui s’impose dans une chaleur torride, mais sans aucune humidité. On se croirait dans un désert, mais il y a de la végétation qui réussit à survivre dans des conditions très difficile. Les arbres sont chétifs et le tapis de feuilles mortes nous rappelle vaguement une marche à l’automne à nos latitudes.
Le point fort de notre visite fut de découvrir des tunnels qui ont été creusés dans la pierre friable, près d’une structure de béton abandonnée. Moi et les enfants sommes allés à la découverte dans ce lieu empreint de mystère…
Nous revenons à temps pour la sieste à l’hôtel. Notre journée se termine dans un bon resto de fruits de mer du coin, non sans être allé à un parc situé en bordure de mer pour que les enfants dépensent leurs énergies…